Ne laissez pas le mal des transports gâcher vos virées à la montagne

 

Les enfants sujets au mal des transports redoutent plus que tout les routes sinueuses de montagne. Si vous partez aux sports d’hiver — et même pour tout autre trajet — il existe des solutions naturelles pour éviter les nausées ou vomissement et préserver bien-être et sérénité sur la route des vacances !

 

Quelles sont les causes du mal des transports ?

Le mal des transports provient d’une perturbation assez courante de l’oreille interne. Ce sens dont nous n’avons pas conscience est perturbé par les mouvements d’un véhicule, qu’il circule sur terre, en mer ou dans les airs. Les enfants les plus sensibles le ressentent même dans un manège de parc d’attractions. Le mal des transports touche tout le monde et à tout âge, y compris les nourrissons.

Notre oreille interne sert à l’audition, mais joue également un rôle capital dans notre équilibre. Son vestibule est composé d’éléments sensoriels qui envoient des signaux sur notre position géographique et tiennent compte de nos déplacements.

Lorsque nous sommes en mouvement, notre cerveau reçoit des informations provenant de divers organes qui transitent par les voies de son système nerveux : l’oreille interne, mais aussi les yeux et les tissus de la surface du corps. Le mal des transports nait de la contradiction entre ce que voient les yeux, ce que ressent notre corps (par l’intermédiaire de la peau entre autres) et la perception par l’oreille interne.

Ce phénomène est d’autant plus prégnant lorsque les yeux sont dans l’incapacité de confirmer ce que ressent l’oreille interne. C’est le cas lorsque vous ne voyez pas l’espace au sein duquel vous vous déplacez : à l’intérieur d’un bateau lorsque vous ne regardez pas par le hublot, dans un transport quelconque durant la nuit, dans un avion qui évolue dans les nuages et n’offre aucune visibilité, etc.

Pour les vacances à la montagne, le trajet en voiture est particulièrement inconfortable pour les enfants souffrant du mal des transports. La route est sinueuse et elle nécessite en plus des changements de vitesse radicaux à cause des virages en épingle. Il faut en plus ajouter les différences de pression qui s’appliquent en fonction de l’altitude. SI vous partez pour des vacances aux sports d’hiver, les conseils qui suivent aideront votre enfant à mieux supporter le voyage.

 

Comment se traduit le mal des transports ?

Un enfant souffrant du mal des transports ne comprend pas d’où vient son malaise et il revient aux parents d’effectuer le diagnostic le plus tôt possible. En effet, un jeune enfant ne sait pas exprimer les manifestations du mal des transports, vous devez donc en guetter les signes distinctifs.

Les principaux symptômes du mal des transports sont :

  • pâleur ;
  • nausées ;
  • vomissements ;
  • salivation excessive ;
  • transpiration ;
  • souffle court ;
  • vertiges ;
  • somnolence ;
  • maux de tête ;
  • malaises ;
  • bâillements, etc.

Pas besoin de consultation spécifique chez le médecin dans la majorité des cas

Le mal des transports demeure une manifestation bénigne qui n’exige pas une médication systématique. Vous pouvez en parler au pédiatre ou au médecin pour obtenir des conseils au cours d’une consultation, mais cela ne nécessite pas de prendre un rendez-vous spécifique. Seuls les cas les plus graves requièrent un diagnostic médical. Le médecin généraliste vous oriente dans ce cas vers un ORL pour vérifier que votre enfant ne souffre pas d’une malformation de son système auditif.

Toutefois, si vous vous apprêtez à réaliser un long voyage ou que vous vous rendez à la montagne, vous pouvez demander une prescription ponctuelle à votre médecin. Il existe divers médicaments ou compléments alimentaires sous forme de sirops, sprays ou comprimés à sucer.  

 

Les astuces pour prévenir le mal des transports

Le mal des transports cesse dès que le voyage est terminé. Cependant, avant et pendant le déplacement, vous pouvez recourir à quelques astuces pour apaiser ses symptômes.

 

Laissez à l’enfant la place la plus appropriée

La première condition pour ne pas déclencher le mal des transports est d’assurer que les yeux reçoivent des informations convergeant avec la perception de l’oreille interne. L’enfant doit donc occuper la place la plus appropriée.

En voiture, la meilleure place est devant. S’il est trop jeune, asseyez-le derrière, mais au milieu pour qu’il puisse fixer l’horizon. En avion ou en train, réservez-lui la place près de la fenêtre. En train, vous devez absolument éviter les sièges qui ne sont pas positionnés dans le sens de la marche.

 

Incitez l’enfant à fixer son regard sur l’horizon

Quel que soit le moyen de transport, l’objectif est de fixer son regard sur l’horizon qui est beaucoup plus stable que les éléments proches du véhicule. Le regard confirme ce que ressent l’oreille interne, ce qui évite la contradiction qui déclenche le mal des transports.

 

Faire des pauses et prendre l’air

Faites des pauses régulières et faites prendre l’air à l’enfant. Marcher sur la terre ferme rétablit l’équilibre. Par ailleurs, l’oxygénation stimule la circulation sanguine. Ouvrez régulièrement la fenêtre de la voiture pour renouveler l’air qui circule dans le véhicule.

 

Incitez votre enfant à faire la sieste

Dormir est la meilleure solution pour que le voyage passe plus vite. C’est aussi le moyen de résoudre le conflit entre les yeux et l’oreille interne. Les sens se mettent en veille et empêchent le mal des transports de se manifester.

 

Mâcher du chewing-gum

Mastiquer un chewing-gum mobilise la sphère ORL qui comprend l’oreille interne, attenante à la mâchoire. Cela est d’autant plus utile en montagne pour parer l’inconfort des différences de pressions liées au changement d’altitude.

 

Les plantes pour soigner le mal des transports

Le gingembre

Le gingembre est la plante la plus réputée pour lutter contre le mal des transports. Les scientifiques n’expliquent pas encore ce phénomène, mais toutes les études confirment son efficacité.

 

La menthe poivrée

Le menthol de la menthe poivrée agit comme un antispasmodique et antalgique local, ce qui le rend très efficace pour contrer le mal des transports. D’autre part, il contient de la menthone qui apaise les nausées et les vomissements, principaux désagréments du mal des transports.

En voiture, vous pouvez diffuser de l’huile essentielle de menthe poivrée dans l’habitacle. Il existe des petits diffuseurs de voyage que vous branchez sur l’allume-cigare du véhicule. Renseignez-vous préalablement auprès d’un professionnel de santé qui pourra vous conseiller en fonction de l’âge de votre enfant (les huiles essentielles doivent toujours être utilisées avec précaution).

 

La sauge

La sauge est recommandée pour apaiser les nausées engendrées par le mal des transports. Vous pouvez également diffuser de l’huile essentielle de sauge dans l’habitacle de la voiture, en tenant compte de la recommandation mentionnée pour la menthe poivrée.

 

Le chardon-Marie

Le chardon-Marie est la plante qui fonctionne le mieux en synergie avec la sauge. Vous le trouvez sous forme de complément alimentaire ou en infusion. Vous pouvez préparer un thermos de tisane de chardon-Marie pour le voyage.

La solution « tout-en-1 », hyper pratique :

PEDIAKID® Mal des transports offre une réponse adaptée et pratique, aux actifs 100% d’origine naturelle. Sa formule associe du Gingembre, traditionnellement reconnu pour soulager les nausées, de la Menthe, de la Sauge et du Chardon-marie qui participent au confort digestif et aident à lutter contre le mal des transports.

Pour une prise facilitée, PEDIAKID® Mal des transports est présenté dans un format nomade, sous forme de sticks liquides prêts à boire, délicieusement aromatisés au concentré naturel de citron.

 

Bonne route !

Notre conseil nutritionnel